miércoles, 27 de febrero de 2013

¿Las Universidades de mañana, estarán en internet, con acceso en línea gratuito?


Un buen artículo obtenido a partir de "Le Monde". Nuestra practica va en línea con la educación pública y gratuita (para eso pagamos impuestos) y que todo aquel que quiera formarse tenga facilidades para hacerlo.
Se intentará traducirlo al español. Sería conveniente tener un seguimiento de la enseñanza en lengua española, y ver que opciones nos ofrecen las universidades y Centros Educativos.
UNED COMA 
¿Que son Cursos "abiertos"?  Son cursos de acceso libre y gratuito.
¿Cuál es la metodología de un COMA? Es la utilizada en los MOOC (del inglés Massive Online Open Course), curso masivo, online y gratis. A partir de la fecha de inicio se subirán los contenidos, pequeñas "píldoras" de vídeo tras las cuales se puede plantear un pequeño cuestionario para asegurar la comprensión. Adicionalmente podría haber un examen final con un mayor número de preguntas. Los cursos se pueden empezar y terminar cuando el estudiante estime oportuno.
¿Cómo puedo certificar mi curso?:  Los cursos COMA contemplan dos opciones de certificación oficiales y una informal. Las oficiales consisten en un Certificado de aprovechamiento o Credencial (previo abono de tasas y superado un examen online) o un  Diploma UNED COMA (previo abono de tasas y superada una prueba presencial ). La vía informal consiste en Badges o insignias de participación. Las vías de certificación estarán disponibles a partir del segundo trimestre de 2013.
Aquí puedes ver todo lo que UNED COMA tiene para ti: https://unedcoma.es/






Les universités de demain seront-elles en ligne (et gratuites) ?
¿Las Universidades de mañana, estarán en internet, con acceso en línea gratuito?

L'Ecole polytechnique diffusera gratuitement sur Internet quelques uns de ses cours à la rentrée 2013. Elle rejoint un mouvement amorcé en 2011 par l'université américaine Stanford.
Avec le développement des massively open online courses (MOOC), ces cours en ligne gratuits dispensés aux États-Unis par les plus grandes universités, le e-learning est devenu le sujet d’intérêt majeur des acteurs de l’enseignement supérieur. En annonçant qu’elle rejoint Coursera, l’École polytechnique ouvre bien grandes les portes des MOOC à la française.

On doit cette terrifiante allégorie d'un MOOC transformant tout sur son passage dans l'enseignement supérieur à Michael Branson Smith, un professeur assistant de communication du York College de New York. Parmi les spécialistes cités en bas de l'affiche, George Siemens est un théoricien de l'apprentissage dans une société basée sur le numérique (ce qu'on appelle le "connectivisme").

Aux États-Unis ils s’appellent Coursera, Udacity ou edX, au Royaume-Uni FutureLearn s’apprête à se lancer, tous mettent en ligne des centaines de cours gratuits pouvant ensuite déboucher sur l'obtention de certificats. En France les MOOC n’existent aujourd’hui quasiment pas mais tout le monde en parle. En annonçant, qu’elle allait mettre gratuitement en ligne quelques cours à la rentrée 2013 sur une partie qui lui sera dédiée du site Coursera (lire plus bas), l’École Polytechnique rejoint un mouvement qui a débuté aux États-Unis en 2011 quand l’université de Stanford a ouvert son premier cours en ligne sur l’intelligence artificielle.
Auparavant, la Khan Academy mettait bien des cours en ligne mais ne se prenait pas pour une grande université pour autant. A la suite de Stanford, ce sont toutes les grandes universités américaines qui ont rejoint un mouvement qui a littéralement frappé le monde de l’enseignement de stupeur. Mais comment les universités américaines peuvent-elles mettre – gratuitement - en ligne des contenus qu’elles font normalement payer cher, très cher, à des étudiants triés sur le volet ? « La création de MOOC est réservée à de grands établissements qui inventent ainsi de nouveaux business models : l’enseignement est gratuit à l’entrée mais payant à la sortie, lorsqu’il faut délivrer un diplôme ou un certificat à ceux qui ont suivi gratuitement les cours en ligne », répond Jean-François Fiorina, le directeur adjoint du groupe Grenoble École de management.

Former ceux qui ne se forment pas
Quand Stanford a ouvert son premier cours en ligne, elle a attiré 140 000 étudiants. Et même si seulement 10% ont suivi ensuite effectivement ce cours jusqu’à son terme c’était déjà un doublement de la population étudiante de Stanford et de leur impact en termes de transmission du savoir ! « Les MOOC peuvent ainsi permettre de découvrir de nouveaux potentiels qui ne se seraient jamais manifesté sinon et que nous pouvons ensuite signaler à des recruteurs ou attirer sur nos campus pour y suivre des MBA ou des Msc », reprend Jean-François Fiorina.
En France, et jusqu’à l’arrivée de l’École Polytechnique à la rentrée, l’initiative la plus aboutie de MOOC portait le joli nom d’ITyPA (pour « Internet Tout Y est Pour Apprendre »). Un cours gratuit en ligne a attiré 1300 fidèles pendant plus de dix semaines est né à l’automne dernier à l’initiative de Centrale Nantes et Télécom Bretagne. « Nous avons présenté des cours en direct pour que ceux qui apprennent apprennent à apprendre sur Internet », explique l’un des quatre concepteurs du projet, Morgan Magnin, qui enseigne à Centrale Nantes. Un projet qui n’aura guère coûté que beaucoup de temps – 150 heures de travail ! – et permis de tester des méthodes et de l’interactivité sur les 1300 étudiants inscrits. « Tous les cours sont encore en ligne mais nous tenions à les proposer d’abord en direct pour réunir un large public et les faire réagir sur les réseaux sociaux. »
Promouvoir son université ou son école
Si l’initiative de Centrale Nantes et Télécom Bretagne a marqué les esprits, elle est aussi le résultat d’un compromis entre plusieurs établissements qui auraient pu, s’ils avaient été seuls, en profiter pour mettre en avant leurs spécificités. « Les MOOC constituent un modèle économique dont les retours sont indirects : la distribution gratuite du savoir permet de faire connaître la qualité d’un enseignement. Auprès des étudiants mais aussi auprès d’entreprises qui apprécient de plus en plus d’avoir des contenus exploitables en ligne pour former leurs personnels », explique Jean-Guy Bernard, le directeur général d’un groupe EM Normandie, qui va mettre en ligne ses premiers MOOC en juin 2013.
Produire aujourd’hui du contenu en ligne français est également une nécessité absolue pour Morgan Magnin : « Nous ne pouvons pas nous contenter de regarder un contenu standard venu des États-Unis alors que nous avons nos expertises à mettre en avant ». « Les MOOC, même avec des chats, des forums, ne sont qu’un modèle de transmission du savoir sans adaptation aux réalités françaises et européennes », confirme Stéphan Bourcieu, directeur général du groupe ESC Dijon Bourgogne qui réfléchit à mettre en ligne un cours sur le vin – l’un des points forts de son école - pour « affirmer notre position de leader dans une optique internationale ».



LearningShelter est un service web pour tout apprendre par vidéo-bulle.
learningshelter.com
Vidéo réalisée par Cynthia Jacquelet (fr.linkedin.com/pub/cynthia-jacquelet/37/457/29)
Avec la voix de Grégor Alécian (fr.linkedin.com/in/gregoralecian)


  • Créé par des étudiants d'ESCP Europe LearningShelter met en ligne des cours payants dispensés en direct aux élèves et étudiants.

MOOC ou e-learning : les étudiants créent leur propre contenu
Si l’EM Normandie se lance si vite dans les MOOC, quand d’autres hésitent, c’est qu’elle est une pionnière du e-learning avec un programme grande école entièrement en ligne. « Tout le problème est de rassembler suffisamment souvent nos étudiants ensemble en cours, ce qui n’est pas facile quand certains sont à Atlanta et d’autres en Chine », explique Elsa Belloncle, la responsable du programme, qui a dû inventer toute une pédagogie adaptée au e-learning : « Nous demandons à nos étudiants de très bien préparer leur cours pour ne pas tous poser les mêmes questions quand ils ont leur enseignant devant eux par écran interposé ». Des cours sont également filmés et le programme comprend des forums thématiques où les enseignants répondent régulièrement aux questions. « Au final de vraies amitiés se lient entre les étudiants, comme dans une promotion classique », se félicite encore Elsa Belloncle, qui va bientôt diplômer sa première promotion : « Et là les étudiants seront présents dans l’école pour que nous validions leurs compétences ».
De l’e-learning, des forums et du « présentiel », c’est ce qu’on appelle le « blended learning » ("formation multimodale" dit-on en français). Parce que ses étudiants continuent à interagir après la fin des cours, Morgan Magnin parle lui de modèle « connectiviste » : « Beaucoup d’étudiants mettent en ligne des ressources et la communauté s’auto régule. Alors que les élèves ingénieurs ont l’habitude de se voir définir des objectifs précis il est important de les sensibiliser à un autre mode d’apprentissage où ce sont les apprenants qui définissent les objectifs et s’organisent en réseau ».



Master EM Normandie en e-learning   


  • La présentation du master en ligne de l'EM Normandie


Subido el 25/01/2011  TheEmnormandy·66 vídeos
L'EM Normandie lance le premier programme Grande Ecole de formation continue entièrement accessible en e-learning.
Visé à bac+ 5, grade de Master, ce programme est destiné aux professionnels, salariés et cadres d'entreprises.
Démarrage : mai 2011. Plus d'informations :
http://www.ecole-management-normandie...
Christine HEDER
Ecole de Management de Normandie
30 rue de Richelieu -- 76087 Le Havre Cedex
Tél. : 33 (0)2 32 92 59 88 - Fax : 33 (0)2 35 42 11 16
E-mail : c.heder@em-normandie.fr




Quel rôle pour les enseignants ?
Les enseignants français paraissent encore souvent réticents à cette mise en avant gratuite. Ils semblent parfois donner l’impression d’avoir peur d’être remplacés, comme c’est déjà largement le cas pour les enseignants de langue avec des plates-formes comme 7speaking. « Les MOOC ne peuvent pas remplacer une école mais peuvent constituer un apport à la pédagogie. Dans une certaine mesure, ils peuvent constituer un substitut aux manuels », veut les rassurer Stéphan Bourcieu alors que Jean-François Fiorina est lui enthousiaste : « Les MOOC sont un formidable outil de développement de ce qu’on pourrait appeler la "nobélisation" des enseignants. Avoir été écouté et lu par des centaines de milliers d’étudiants confère une notoriété qu’il faut ensuite pouvoir exploiter dans le cadre de ses recherches ».
Une « nobélisation » qui n’est peut-être tout simplement pas inscrite dans les gènes de l’enseignant français. « Quand on visite le bureau d’un enseignant américain, on est tout de suite frappé par le nombre de trophées qu’il met en avant », se souvient encore Morgan Magnin, conscient également de la concurrence que les MOOC risque d’introduire entre les enseignants : « Quand trente cours de mécanique seront en ligne, seuls deux ou trois trouveront leur public. Il va falloir apprendre à les marketer ». Avec l’émergence des MOOC, l’ère du « professeur star » est ouverte…
  • Lire aussi « MOOC : la standardisation ou l’innovation » une tribune de Dominique Boullier professeur de sociologie à Sciences Po et coordinateur scientifique du MediaLab sur InternetActu
  • L’École polytechnique sur Coursera
  • À la rentrée 2013 l’École Polytechnique sera le premier établissement d’enseignement supérieur français à diffuser gratuitement des cours en ligne sur la plate-forme Coursera aujourd’hui leader dans le monde avec plus de 2,7 millions d’usagers. Seront tout de suite accessible à l’adresse https://www.coursera.org/#ep un cours de mathématiques appliquées proposé par Sylvie Méléard et Jean-René Chazottes (« Introduction à la théorie et au calcul des probabilités »), un cours de mathématiques de François Golse et Yvan Martel (« Initiation à la théorie des distributions ») et un cours d’informatique donné par Dominique Rossin et Benjamin Werner (« Conception et mise en œuvre d'algorithmes »). Il s’agit là pour l'École polytechnique d’un « premier pas dans le cadre d'un projet collectif ambitieux de l'Idex Paris-Saclay portant sur l’e-learning ».


martes, 19 de febrero de 2013

Nicolás Copérnico (1473-1543)


Nicolás Copérnico
Copernicus.jpg
Astrónomo polaco
Nacimiento 19 de febrero de 1473
Toruń, Prusia, Flag of Poland.svg Polonia
Fallecimiento 24 de mayo de 1543 (70 años)
Frombork, Prusia, Polonia
Nacionalidad Polaco
Campo Astronomia,Matemática
Alma máter Universidad de Cracovia
Conocido por Padre de la teoría heliocéntrica
Firma
Nicolaus Copernicus signature (podpis Mikołaja Kopernika).svg
Description de cette image, également commentée ci-après Copérnico — en polaco Mikołaj Kopernik, en latín Nicolaus Copernicus - (Toruń, Prusia, Polonia, 19 de febrero de 1473Frombork, Prusia, Polonia, 24 de mayo de 1543) fue un astrónomo polaco del renacimiento que estudió la teoría heliocéntrica del Sistema Solar, concebida en primera instancia por Aristarco de Samos. Su libro, De revolutionibus orbium coelestium (Sobre las revoluciones de las esferas celestes), suele estar considerado como el punto inicial o fundador de la astronomía moderna, además de ser una pieza clave en lo que se llamó la Revolución Científica en la época del Renacimiento. Copérnico pasó cerca de veinticinco años trabajando en el desarrollo de su modelo heliocéntrico del universo. En aquella época resultó difícil que los científicos lo aceptaran, ya que suponía una auténtica revolución.
Copérnico era un polímata: matemático, astrónomo, jurista, físico, clérigo católico, gobernador, administrador, líder militar, diplomático y economista. Junto con sus extensas responsabilidades, la astronomía figuraba como poco más que una distracción. Por su enorme contribución a la astronomía, en 1935 se dio el nombre «Copernicus» a uno de los mayores cráteres lunares, ubicado en el Mare Insularum.1
El modelo heliocéntrico es considerado una de las teorías más importantes en la historia de la ciencia occidental.
Plik:CopernicusHouse.jpg
Dom Kopernika w Toruniu - Alleged birthplace of Copernicus in Toruń
File:Torun-Rynek-ratusz-2.jpg
Toruń (en allemand: « Thorn »), la ville où est né Nicolas Copernic Old market square and town hall in Torun

Vida y obra

Este famoso científico polaco-prusiano2 estudió en la Universidad de Cracovia (1491-1494) probablemente bajo las directrices del matemático Wojciech Brudzewski. 3 Viajó por Italia y se inscribió en la Universidad de Bolonia (1496-1499), donde estudió Derecho, Medicina, Griego, Filosofía, y trabajó como asistente del astrónomo Domenico da Novara.
En 1500 fue a Roma, donde tomó un curso de ciencias y astronomía, y en 1501 volvió a su patria y fue nombrado canónigo en la Catedral de Frauenburg, cargo obtenido merced a la ayuda de su tío Lucas Watzenrode.
Pese a su cargo, volvió a Italia, esta vez a Padua (1501-1506), para estudiar Derecho y Medicina, haciendo una breve estancia en Ferrara (1503), donde obtuvo el grado de Doctor en Derecho Canónico.
Reinstalado definitivamente en su país (1523), se dedicó a la administración de la diócesis de Warmia, ejerció la Medicina, ocupó ciertos cargos administrativos y llevó a cabo su inmenso y primordial trabajo en el campo de la Astronomía.
Plik:Copernicus Tower in Frombork.jpg
Frombork - Copernicus Tower
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Zamek w Olsztynie

Falleció el 24 de mayo de 1543 en Frombork, Polonia. En 2005 un equipo de arqueólogos polacos afirmó haber hallado sus restos en la Catedral de Frombork, teoría que fue verificada en 2008 al analizar un diente y parte del cráneo y compararlo con un pelo suyo encontrado en uno de sus manuscritos.4 A partir del cráneo, expertos policiales, reconstruyeron su rostro, coincidiendo éste con el de su retrato.5
El 22 de mayo de 2010 recibió un segundo funeral en una misa dirigida por Józef Kowalczyk, nuncio papal en Polonia y recién nombrado Primado de Polonia. Sus restos fueron de vuelta enterrados en el mismo lugar, en la Catedral de Frombork. Una lápida de granito negro ahora lo identifica como el fundador de la teoría heliocéntrica y lleva además la representación del modelo de Copérnico del sistema solar, un sol dorado rodeado por seis de los planetas.6 7

File:Zamek w Lidzbarku Warmińskim.jpg
Palais épiscopal de Heilsberg (Lidzbark Warmiński) où vécut Copernic

Modelo heliocéntrico

En 1533, Johann Albrecht Widmannstetter envió a Roma una serie de cartas resumiendo la teoría de Copérnico. Éstas fueron oídas con gran interés por el papa Clemente VII y varios cardenales católicos.
Para 1536 el trabajo de Copérnico estaba cercano a su forma definitiva, y rumores acerca de su teoría habían llegado a oídos de toda Europa. Copérnico fue urgido a publicar desde diferentes partes del continente.
En una epístola fechada de noviembre de 1536, el arzobispo de Capua, Nikolaus Cardinal von Schönberg, pidió a Copérnico comunicar más ampliamente sus ideas y solicitó una copia para sí. Algunos han sugerido que esta carta pudo haber hecho a Copérnico sospechoso al publicar, mientras que otros han sugerido que esto indicaba el deseo de la Iglesia de asegurarse que sus ideas fueran publicadas.[cita requerida]
A pesar de la presión ejercida por parte de diversos grupos, Copérnico retrasó la publicación de su libro, tal vez por miedo a la crítica. Algunos historiadores consideran que, de ser así, estaba más preocupado por el impacto en el mundo científico que en el religioso.
Las ideas principales de su teoría eran:
  1. Los movimientos celestes son uniformes, eternos, y circulares o compuestos de diversos ciclos (epiciclos).
  2. El centro del universo se encuentra cerca del Sol.
  3. Orbitando alrededor del Sol, en orden, se encuentran Mercurio, Venus, la Tierra y la Luna, Marte, Júpiter, Saturno. (Aún no se conocían Urano y Neptuno.)
  4. Las estrellas son objetos distantes que permanecen fijos y por lo tanto no orbitan alrededor del Sol.
  5. La Tierra tiene tres movimientos: la rotación diaria, la revolución anual, y la inclinación anual de su eje.
  6. El movimiento retrógrado de los planetas es explicado por el movimiento de la Tierra.
  7. La distancia de la Tierra al Sol es pequeña comparada con la distancia a las estrellas.

File:Naboth Conventional.JPG
Naboth's representation of the conventional view of the solar system 1573

File:Naboth Capella.JPG
Naboth's representation of Martianus Capella's geo-heliocentric astronomical model 
Valentin Naboth (1523-1593)
File:Naboth Copernicus.JPG
Naboth's representation of Copernicus' heliocentric model

De revolutionibus orbium coelestium



File:CopernicSystem.png
El sistema copernicano (De Revolutionibus Orbium Coelestium).


Copérnico estudió los escritos de los filósofos griegos buscando referencias al problema del movimiento terrestre, especialmente los pitagóricos y Heráclides Póntico, quienes creían en dicha teoría. En cuanto a la teoría heliocéntrica en sí, hasta donde se sabe hoy, fue concebida por primera vez por Aristarco de Samos (310-230 a. C.), a quien curiosamente no nombra en su obra.8 Es preciso centrar el valor real de sus estudios en el hecho de reimponer teorías ya rechazadas por el «sentido común» y de darles una estructuración coherente y científica.
La ruptura básica que representaba para la ideología religiosa medieval, la sustitución de un cosmos cerrado y jerarquizado, con el hombre como centro, por un universo homogéneo e indeterminado (y a la postre incluso infinito), situado alrededor del Sol, hizo dudar a Copérnico de publicar su obra, siendo consciente de que aquello le podía acarrear problemas con la Iglesia; por desgracia, a causa de una enfermedad que le produjo la muerte, no alcanzó a verla publicada. Copérnico aún estaba trabajando en el De revolutionibus orbium coelestium (aunque aún no convencido de querer publicarlo) cuando en 1539 Georg Joachim Rheticus, un matemático de Wittenberg, llegó a Frombork. Philipp Melanchthon había arreglado para Rheticus su visita a diversos astrónomos y el estudio con ellos. Rheticus se convirtió en el pupilo de Copérnico, viviendo con él por dos años, tiempo durante el cual escribió un libro, Narratio Prima (primer recuento), resumiendo la esencia de la teoría de Copérnico. En 1542 Rheticus publicó un tratado de trigonometría escrito por Copérnico (incluido después en el segundo libro de De revolutionibus). Bajo gran presión por parte de Rheticus, y habiendo visto la reacción favorable del público frente a su trabajo, Copérnico finalmente accedió entregar el libro a su amigo cercano Tiedemann Giese, obispo of Chełmno (Kulm), a ser entregado a Rheticus para ser impreso por Johannes Petreius en Núremberg. La primera edición del De Revolutionibus aparece en 1543 (el mismo año de la muerte del autor), con una larga introducción en la que dedica la obra al Papa Pablo III, atribuyendo su motivo ostensible para escribirla a la incapacidad de los astrónomos previos para alcanzar un acuerdo en una teoría adecuada de los planetas y haciendo notar que si su sistema incrementaba la exactitud de las predicciones astronómicas, esto permitiría que la Iglesia desarrollara un calendario más exacto (un tema por entonces de gran interés y una de las razones para financiar la astronomía por parte de la Iglesia).
El trabajo en sí estaba dividido en seis libros:
1. Visión general de la teoría heliocéntrica, y una explicación corta de su concepción del mundo.
2. Básicamente teórico, presenta los principios de la astronomía esférica y una lista de las estrellas (como base para los argumentos desarrollados en libros siguientes).
3. Dedicado principalmente a los movimientos aparentes del Sol y a fenómenos relacionados.
4. Descripción de la Luna y sus movimientos orbitales.
5. Explicación concreta del nuevo sistema.
6. Explicación concreta del nuevo sistema (continuado).

File:Mikolaj Kopernik.jpg
Nicolas Copernic tenant un muguet, attribut du médecin.

Significado de la obra

Poner en tela de juicio que el hombre está en el centro del Universo para contemplarlo significa ir en contra del más grande de los ideales: el de la contemplación por parte del hombre de la majestuosidad de los cielos hechos por Dios. La importancia de la obra de Copérnico es ser una obra revolucionaria, precursora de grandes cambios científicos. Dicho carácter revolucionario no está sólo en sus escritos sino en poner en marcha unos caminos que romperán las barreras del pensamiento. No debemos olvidar que la obra de Copérnico sigue ligada al Mundo Antiguo, ya que ciertas premisas platónicas siguen vigentes en su pensamiento como los dos grandes principios de uniformidad y circularidad. Sin embargo con su obra se afianza otra gran idea propia de la modernidad: la naturaleza va perdiendo su carácter teológico, el hombre ya no es el centro del universo, sino que Copérnico le desplaza a una posición móvil, como la de cualquier otro planeta. A partir de Copérnico se desencadena la idea de que el hombre ahora está gobernado por su Razón, que será la facultad del ser humano que hace que tome parte en el ordenamiento del Universo. Así el hombre pasa a ser un ser autónomo que basa dicha autonomía en su capacidad de raciocinio. La razón humana puede ahora apoderarse de la Naturaleza: dominarla y controlarla. Así el hombre deja de ser el centro físico del Universo para convertirse en el centro racional del Universo. A partir de ahora nos enfrentamos al mundo, no contemplándolo, sino construyendo hipótesis a través de las capacidades del hombre, que contrastadas con la naturaleza se podrán dar por válidas o no.
File:Jan Matejko-Astronomer Copernicus-Conversation with God.jpg
Portrait de Copernic par Jan Matejko : Conversation avec Dieuwww.pinakoteka.zascianek.pl

En este caso particular, Copérnico tuvo en contra al cristianismo de la época que hizo suyos los presupuestos aristotélicos del mundo antiguo. Aristóteles escribió de teoría literaria, política, ética, metafísica, lógica, meteorología, física, biología, astronomía… y todo ello integrado coherentemente, lo que hacía muy difícil atacar una parte sin atacar al todo. A la vez, permitía, por esa misma razón, dejar de lado pequeñas dificultades que pudieran surgir en aspectos parciales. Esa es la razón fundamental de su permanencia como visión del mundo a lo largo de dos mil años. Si además se añade que, tras su descubrimiento por parte del mundo medieval, este sistema fue cristianizado y asumido por la Iglesia católica a través de la obra de Santo Tomás de Aquino, comprenderemos mejor la resistencia que opuso a su superación y hasta que punto determinó, no sólo la historia de la astronomía, sino de la ciencia y de la cultura.
La difusión de la teoría copernicana se lleva a cabo sobre un fondo político e histórico en el que es de importancia fundamental el problema religioso existente desde 1517 con la irrupción en escena del luteranismo. En 1545 se inició el Concilio de Trento, que después de tres sesiones, con su final en 1563, deja establecida la reforma radical de la Iglesia e impone un programa de recuperación y defensa del dogma frente al mundo reformista. Pío V y Gregorio XIII, entre 1566 y 1585 culminarán el proceso de recuperación de la Iglesia católica en la segunda mitad del siglo XVI, solventado los problemas de disensión interna y de jerarquía. Difunden la enseñanza eclesiástica y recuperan importancia e influencia en los países en que la creencia protestante se había hecho fuerte. Pero los sucesos acaecidos en los cielos durante a finales del siglo XVI y las observaciones que Copérnico hizo de estos, minaron ciertamente la autoridad y credibilidad de la filosofía que sustentaba la astronomía ptolemaica. La Iglesia protestante paulatinamente se rinde ante la situación y su oposición al heliocentrismo desaparece. Se da un vuelco en la situación. A partir del final de siglo será la Iglesia católica la que, utilizando su poder organizado en la Inquisición, convertirá al heliocentrismo en el enemigo más inmediato.
En cualquier caso no todo deben ser reproches a la Iglesia, porque si bien posteriormente la obra de Copérnico fue condenada, fue esta misma Iglesia católica la que permitió que el científico pudiera concebir, escribir y publicar. La biografía de Copérnico está enormemente influenciada por la Iglesia desde el momento en el que con diez años queda huérfano y es acogido por su tío, canónigo que un tiempo después llegaría a ser Obispo. Sería su tío Lucas quien tuviera prevista una larga etapa de formación académica en universidades de prestigio como las de Cracovia y Padua, y además sería gracias al respaldo de la Iglesia de Roma y a sus posesiones por lo que Nicolás Copérnico (y su familia) no debieron volver a preocuparse por los aspectos materiales de su vida, pues tendrían ingresos garantizados. La educación que su tío le proporcionó fue la que hizo posibles las observaciones de los cielos y los estudios sobre astronomía que Copérnico realizó por las mejores Universidades de Europa.
A la muerte de su tío Lucas en 1512, los sucesivos obispos confiarán en Copérnico, bien como canciller, bien como administrador o visitador, y comenzará para él una época de actividad que casi podría describirse como febril. Durante los siguientes veinte años al menos, Copérnico deberá atender a la administración de bienes y servicios de la diócesis, llevará a cabo intensas gestiones diplomáticas y además de todo eso, observará el cielo, anotará pacientemente posiciones del Sol, días y horas de eclipses, ocultaciones y conjunciones, y comprobando pacientemente y de forma minuciosa cada dato conocido irá elaborando su obra magna, el “De Revolutionibus”. Sólo utilizó tres instrumentos: el Cuadrante, el Astrolabio y el “instrumento paraláctico”. Con ellos, desde su torre, observará Sol, Luna y estrellas durante esos años. La última observación que utiliza en el “De Revolutionibus” es del 12 de marzo de 1529 y lo es del planeta Venus. Por entonces debía estar finalizando su redacción y tenía ya 56 años.
Prácticamente todos los especialistas piensan que “De Revolutionibus” estaba acabado en torno a 1530. Pero Copérnico no lo publica. Que se sepa, ni intenciones de hacerlo tuvo. ¿Por qué Copérnico, que llevaba quizás 20 años o más trabajando en esa obra, se mostraba indeciso para publicarla? Él mismo esbozará algunos motivos en la dedicatoria del “De Revolutionibus”, pero, ¿por qué? Sólo caben hipótesis: Los datos que profusamente utilizaba en su obra provenían de las obras antiguas y, por consiguiente, podían tener errores notables acumulados; por otro lado estaba el problema de la reforma religiosa planteada por el luteranismo y la sensación de vivir un periodo de ortodoxia cambiante en el que, quizás (y Copérnico sí que dio siempre muestras de portarse así) lo mejor era guardar cierta distancia y prudencia respecto a ciertas formulaciones que pudieran “herir sensibilidades” filosóficas o religiosas. Si a todo esto se añade (¿por qué no creerlo, si él mismo lo dice?) sus veleidades elitistas inspiradas en el secretismo pitagórico, quizás podamos hacernos una idea de por qué “De Revolutionibus” permaneció probablemente otra docena de años oculto.
El libro apareció impreso en la imprenta de Petreus en mayo de 1543. La edición incluía la advertencia al lector redactada por Osiander, la carta que el cardenal Schönberg había escrito a Copérnico en 1536 y una dedicatoria del propio Copérnico al Papa Pablo III, que será el texto que ahora nos ocupa. Todos los documento citados son de suprema importancia, pero el tercero destaca por encima de los otros dos por ser en el que Copérnico nos dice algo sobre la génesis de su trabajo.
En la dedicatoria de Copérnico al Papa, el autor primeramente da por cierto que poner en movimiento la Tierra causará peticiones de condena, por lo que durante largo tiempo dudó si darlo a conocer u operar al estilo pitagórico. Además, hace saber al Papa cómo pudo habérsele ocurrido poner a la Tierra en movimiento. En primer lugar, dice que los matemáticos no están de acuerdo con las investigaciones ya que no se ponían de acuerdo en la duración del año, inseguros de los movimientos del Sol y la Luna respectivamente. Además, para explicar sus teorías utilizan distintos supuestos y demostraciones (sin unificar una serie de principios válidos universalmente). Admiten muchas cosas que contravienen los primeros principios acerca de la regularidad del movimiento de los astros, y tampoco han sido capaces de hallar lo más importante, “la forma del mundo y la inmutable simetría de sus partes”.
La obra de Copérnico y los cambios que propone se proyectan sobre el estado anterior de la astronomía y sobre el entramado científico y filosófico que con él se asociaban. En el texto que ahora comentamos, el autor hace un breve repaso por todas aquellas partes de la astronomía anterior a él que quedan obsoletas a partir de sus descubrimientos: la inseguridad sobre los movimientos del Sol y la Luna (ya que sus movimientos anuales no se podían establecer con seguridad), la explicación del movimiento de los planetas tampoco resultaba aceptable ya que no se utilizaban los mismos supuestos para todos (ya que en unos casos se utilizan círculos homocéntricos, en otros excéntricos, epiciclos, etc.), y sobre todo, que el Universo era tomado como un sistema por partes que carece de unidad. De esta manera, al final del texto, el autor reflexiona y explica que la astronomía que le precedía era confusa en el sentido de que no se seguían principios seguros sino que en unos casos se utilizaban unas explicaciones, en otros otras, y que por lo tanto se llega a un “método” incompleto (ya que si las hipótesis que se plantearon fuera ciertas, ciertamente podrían demostrarse con facilidad).
Las ideas principales de la obra de Copérnico, que se oponen a las anteriores a él, son entre otras, su idea de preservar la unidad de movimientos y crear un sistema de círculos más racional. El helioestatismo y el heliocentrismo no son las premisas sino la conclusión. Además, elimina los ecuantes de la astronomía porque no parecen respetar los principios básicos de Platón. Cambia también de hipótesis y toma la de que el Sol permanece quieto y la Tierra se mueve (con una serie de movimientos distintos: el movimiento de rotación, el de traslación y el de declinación que sirve para explicar los equinoccios). Para esto, Copérnico plantea sus hipótesis: que no existe un centro único de todas las esferas celestes, y que además el centro de La Tierra no es el centro del Universo (sino el centro lunar y el centro de gravedad).
Todas las esferas giran en torno al Sol, que es el centro de giro de ellas, y el Sol está en las proximidades del centro del Mundo; supera el problema del paralaje si pensamos que las estrellas están a una distancia muchísimo superior a lo que se pensaba anteriormente. Además, cualquier movimiento que parezca realizado en la esfera de las estrellas no es tal; sino que lo que se mueve es la Tierra (que gira cada día y da una vuelta completa, mientras que la esfera de las estrellas está inmóvil). De esta misma manera, los movimientos del Sol no se deben a él, sino a la Tierra que gira en torno a él igual que el resto de planetas; y los movimientos retrógrados y directos de los planetas no se deben a ellos, sino al movimiento de la Tierra. Vemos por lo tanto que el plantear la hipótesis de que la Tierra se mueve sirve para explicar muchas de las irregularidades de los movimientos del Universo: elimina antiguos problemas y herramientas complicadas como los ecuantes, las esferas celestes, etc.
De esta manera llegamos a la conclusión de que la idea principal de Copérnico fue la de conservar las ideas y principios de la Antigüedad pero con otra hipótesis: la del movimiento de la Tierra. Ptolomeo sólo ofrece una caja de herramientas para resolver problemas, mientras que Copérnico unirá todos esos problemas para dar una configuración completa del Sistema Planetario: un Universo finito y cerrado pero con las estrellas infinitamente alejadas, idea que daría píe a que sus sucesores planteasen la idea de un Universo infinito. Por eso insistimos en que la importancia fundamental de Copérnico no fueron sus ideas en sí, sino lo que estas significaron para abrir pico paso a los descubrimientos astronómicos posteriores.
Como curiosidad, el primer ejemplar de la publicación llegó a Nicolás Copérnico el mismo día de su muerte, el 24 de mayo de 1543.
Plik:Symokatta epistole morales.jpg
Theophilacti Scolastici Simocatti ep(isto)le morales, rurales et amatorie interpretatione latina. This translation of Theophilact's Greek poems into Latin is the only work Nicolaus Copernicus published himself. With the help of Lorenz Rabe, it was printed by Johann Haller in Cracow. The work is dedicated to his uncle, bishop Lucas Watzenrode: "Ad reverendissimum d(omin)um Lucam episcopum warmiensem Nicolai coppernici epistola." According to the German edition of "de revolutionibus"[1], the spelling Coppernicus is used in the original, while the Polish edition of "de revolutionibus"[2] prints it with a single p only.

File:Warszawa Copernicus.png
Monument en l'honneur de Mikołaj Kopernik de Bertel Thorvaldsen à Varsovie.
The monument was sculpted by Bertel Thorvaldsen. Carved by the sculptor in 1822 and erected by Warsaw bell-maker Jan Gregoire in 1833. Destroyed by the German army in World War II after the Warsaw Uprising, probably melted and turned into tanks. After the war the original form of the sculpture was found in Denmark and the Danish government presented Warsaw with an exact copy of the original monument. It was re-erected on July 22, 1945. The figure is holding an w:Armillary sphere.

File:Réplica del monumento a Copénico de Warsaw, a la entrada del Planetarium de Montreal en Canadá..jpg
Réplica del monumento a Copénico en Warsaw, a la entrada del antiguo Planetario de Montreal, Canadá
File:Copernicus Walhalla.jpg
Buste (1807) de Schadow dans le Walhalla, à Donaustauf, Allemagne
Nicolaus Copernicus bust, created in 1807 by Johann Gottfried Schadow, in the German Walhalla temple near Regensburg.

File:Estatua de Coérnico en Bogotá.JPG
Estatua de Copérnico en el Parque de la Independencia de Bogotá, Colombia.




Legado

Copérnico está considerado como el fundador de la astronomía moderna, proporcionando las bases que permitieron a Newton culminar la revolución astronómica, al pasar de un cosmos geocéntrico a un universo heliocéntrico y cambiando irreversiblemente la visión del cosmos que había prevalecido hasta entonces.
Así, lo que se conoce como Revolución Copernicana es su formulación de la teoría heliocéntrica, según la cual, la Tierra y los otros planetas giran alrededor del Sol.
En memoria de Nicolás Copérnico, el 19 de febrero del 2010 la IUPAC nombra al elemento 112 de la tabla periódica como copernicio.

Véase también

Referencias

  1. Ficha del cráter lunar «Copernicus», Gazeteer of Planetary Nomenclature Enlace consultado el 4 de julio de 2009.
  2. Sobre la nacionalidad de Copérnico se han dado acalorados debates, pues tanto alemanes como polacos lo han reivindicado para sí, como se comprueba también en las ediciones alemana y polaca de Wikipedia, respectivamente. La situación parece aclarada si se tiene en cuenta lo siguiente: His country was the province of ancient Royal Prussia, composed of his native Torun and Warmia, both components of the Polish state since 1454 - Barbara Bieńkowska: The Scientific World of Copernicus on the Occasion of the 500th Anniversary of His Birth 1473-1973, 1973, p. 137
  3. Vernet, Juan (2000). Astrología y astronomía en el Renacimiento. La revolución copernicana.. Barcelona: Acantilado. pp. 34. ISBN 84-95359-11-1. «Estudió en la Universidad de Cracovia entre 1491 y 1495 y aquí parece haber tenido sus primeros contactos con la astronomía. Posiblemente siguió las clases del astrónomo-astrólogo Alberto Brudzewo, quien desde 1490 «leía» el De coelo de Aristóteles. Brudzewo conocía bien la astronomía tradicional y había escrito en 1482 un Commentatorium super theoricas novas planetarium Georgii Peuerbachii que fue editado en 1495. Pero es muy difícil que hubiera podido sugerir a sus alumnos las ideas de un nuevos sistema planetario, aunque conociera las dudas sobre el tradicional por Averroes y otros pensadores musulmanes, como Alpetragio
  4. El ADN confirma que los restos hallados en 2005 son los de Copérnico
  5. Reconstrucción del rostro de Copérnico
  6. Easton, Adam (21 de noviembre de 2008). «Polish tests 'confirm Copernicus'». BBC News. Consultado el 18 de enero de 2010.
  7. Copérnico será enterrado en Polonia 467 años después de su muerte
  8. Leonardo Moledo/Esteban Magnani, Diez teorías que conmovieron al mundo (I) (2006), ed. Capital Intelectual.

Bibliografía

  • Arthur Koestler, The sleepwalkers (A history of Man's Changing Vision of the Universe), Penguin, Arkana, 1989 (originalmente publicado por Hutchinson en 1959). Hay traducción castellana: Koestler, Arthur, Los sonámbulos (Una historia de la cambiante cosmovisión del hombre), Editorial Universitaria de Buenos Aires (EUDEBA), Biblioteca El Hombre y su Sombra, 1963. Traducción de A. L. Bixio.
  • Rioja Nieto, Ana & Ordóñez, Javier, Teorías del Universo (vol. 1): de los pitagóricos a Galileo, Madrid, Síntesis, 1999.

Enlaces externos

http://www.elmundo.es/elmundosalud/2008/11/20/biociencia/1227204806.html
EFE
VARSOVIA.- Investigadores polacos y suecos han confirmado mediante el ADN que los restos humanos hallados hace tres años en la catedral de Frombork (al norte de Polonia) pertenecen al astrónomo Nicolás Copérnico, fallecido en esa localidad en 1543.
Los científicos analizaron el ADN de varios pelos encontrados en un libro del científico 'Calendarium Romanum Magnum' de Johannes Stoeffler (que se conservaban en la universidad sueca de Uppsala), y encontraron las mismas secuencias en un diente y un hueso descubiertos en el templo.
"Ahora tenemos la certeza de que el cráneo hallado en Frombork es el de Nicolás Copérnico", dijo en rueda de prensa el profesor Jerzy Gassowski, del Instituto de Arqueología de Pultusk (en el centro de Polonia). Fue él quien en 2005 descubrió los restos en la catedral Frombork, donde el astrónomo sirvió como canónigo, que ya en aquel momento atribuyó a Copérnico.
Gassowski basó entonces su teoría en la existencia de un retrato de Copérnico donde el erudito parecía tener la nariz rota, y en el hecho de que el cráneo enterrado en la catedral, bajo un tilo, tenía también el hueso en la nariz partido, además de otros rasgos que podían atribuirse al estudioso polaco.
Con este hallazgo se confirma la teoría del profesor de Pultusk y se pone fin a la incógnita histórica sobre el lugar en el que fue enterrado el astrónomo (Torun, 1473-Frombork, 1543), creador de la teoría heliocéntrica del sistema solar y autor 'De Revolutionibus Orbium Coelestium' ('De las revoluciones de las esferas celestes').
Copérnico fue el primero en afirmar que los planetas giran sobre sí mismos y alrededor del Sol, lo que le ha valido ser considerado como el padre de la astronomía actual.

Un grupo de científicos aseguran que unos restos encontrados en Polonia en 2005 pertenecen al célebre astrónomo
ELPAÍS.com Madrid 20 NOV 2008 - 19:05 CET


Reconstrucción digital del posible rostro del astrónomo Nicolás Copérnico presentada por la Fundación Kronenberg / AP

Un grupo de científicos han realizado una reconstrucción del rostro de Nicolás Copérnico a partir de un cráneo encontrado en 2005 / AP

Cualquier chaval sabe quién es Nicolás Copérnico. Pero no está tan claro que la gente logre poner cara al astrónomo que revolucionó el mundo científico con sus teorías sobre el sistema solar allá por los albores del siglo XVI. Este jueves un grupo de arqueólogos han anunciado que una osamenta descubierta en 2005 en el norte de Polonia pertenece a Copérnico (1473-1543).

El hallazgo se ha producido gracias a que los científicos polacos y suecos han estudiado el código genético de dos cabellos y un diente. Los resultados han sido contrastados con el esqueleto hallado en una excavación en Frombork. A raíz de ese descubrimiento el grupo de investigadores han realizado una reconstrucción digital de cómo puede haber sido Copérnico. Los resultados muestran el rostro de un hombre con nariz aguileña, ojos hundidos y una cicatriz en la frente, justo por arriba de la ceja derecha.

"Dos de los 12 cabellos encontrados tienen la misma secuencia de genes que el diente del cráneo y los huesos hallados en Frombork", ha señalado Marie Allen, de la Universidad de Uppsala (Suecia). "Estamos seguros que los restos hallados en esa excavación pertenecen a Nicolás Copérnico", ha agregado en conferencia de prensa el arqueólogo Jerzy Gassowski.

Astrónomo, matemático, jurista y físico, Copérnico nació en Torun, una localidad al noroeste de Varsovia. Los anales históricos situaban su muerte, a los 70 años, en la prusiana Frombock, pero no se había detallado el lugar exacto de su entierro ni la fecha precisa del suceso. Con su Teoría heliocéntrica del sistema solar, Nicolás Copérnico abrió el camino a la ciencia moderna. De hecho, esta teoría, que entre otras cosas señala que los cuerpos celestes tienen ciclos y que los planetas orbitan alrededor del Sol, es considerada una de las más importantes en la historia de la ciencia occidental.

El buscador celebra el 540 aniversario del astrónomo polaco

Nicolás Copérnico es el protagonista del nuevo doodle de Google debido a la celebración del 540 aniversario del reconocido astrónomo polaco. El diseño del logotipo del buscador hace referencia a la teoría heliocéntrica del Sistema Solar, concebida en primera instancia por Aristarco de Samos. La celebración del 540 aniversario de su nacimiento en Torun, en Prusia (Polonia), es el motivo que se encuentra tras su aparición en la cabecera de la web más usada del planeta. El libro de Nicolás Copérnico, 'De revolutionibus orbium coelestium' (Sobre las revoluciones de las esferas celestes), supone una pieza clave en lo que se conoció como la Revolución Científica en la época del Renacimiento. Un doodle lleno de ciencia y en el que la concepción de la teoría heliocéntrica de Nicolás Copérnico tienen su hueco de forma muy dinámica.
El astrónomo homenajeado por Google era un polímata, es decir, matemático, astrónomo, jurista, físico, clérigo católico, gobernador, administrador, líder militar, diplomático y economista. Por su enorme contribución a la astronomía, en 1935 se dio el nombre «Copernicus» a uno de los mayores cráteres lunares, ubicado en el Mare Insularum. Nicolás Copérnico es considerado el autor de una de las teorías más importantes en la historia de la ciencia occidental.
Se formó en la Universidad de Cracovia (1491-1494) bajo las directrices del matemático Wojciech Brudzewski. Viajó por Italia y se inscribió en la Universidad de Bolonia (1496-1499) para estudiar Derecho, Medicina, Griego y Filosofía, y además fue asistente del astrónomo Domenico da Novara. Así, el astrónomo homenajeado por Google fue a Roma en 1500, donde hizo un curso de ciencias y astronomía. Un año más tarde, en 1501, volvió a su patria y fue nombrado canónigo en la Catedral de Frauenburg, cargo que obtuvo con la ayuda de su tío Lucas Watzenrode

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Linki zewnętrzne



Nicolás Copérnico. El rincón de la Ciencia



El rincón de la Ciencianº 9, Diciembre de 2000 Ciencia e Historia
Nicolás CopérnicoF. Ortego
 Description de cette image, également commentée ci-après
Nicolás Copérnico - Biblioteca del Gimnasio, Turín

Copérnico (1473-1543) fue un astrónomo polaco, conocido por su teoría heliocéntrica, según la cual el Sol se encuentra inmóvil en el centro del Universo y la Tierra gira alrededor de él. La teoría fue desarrollada en los primeros años de la década de 1500, pero se publicó años después. Se oponía a la teoría de Ptolomeo, entonces vigente, según la cual el Sol y los planetas giran alrededor de una Tierra fija. Al principio, Copérnico dudó en publicar sus hallazgos porque temía las críticas de la comunidad científica y religiosa. A pesar de la incredulidad y rechazo iniciales, el sistema de Copérnico pasó a ser el modelo del Universo más ampliamente aceptado a finales del siglo XVII.
Su formación académica fue muy variada. En 1491 comenzó a estudiar la carrera de humanidades en la Universidad de Cracovia. En enero de 1497, empezó sus estudios de derecho canónico en la Universidad de Bolonia, alojándose en casa de un profesor de matemáticas que contribuyó al interés de Copérnico por la geografía y la astronomía. En 1500, Copérnico se doctoró en astronomía en Roma. Al año siguiente obtuvo permiso para estudiar medicina en Padua. Sin haber acabado estos estudios, se licenció en derecho canónico en la Universidad de Ferrara en 1503 y regresó a Polonia.
Concluyó su obra más célebre, De revolutionibus orbium caelestium (Sobre las revoluciones de los cuerpos celestes), en 1530, pero no fue publicada hasta el 24 de mayo de 1543, poco antes de su muerte, por Andreas Osiander, un editor luterano de Nuremberg (Alemania). La teoría copernicana, pese a la oposición de la Iglesia Católica, fue imponiéndose paulatinamente debido a las observaciones científicas y a los apoyos de ilustres astrónomos como Kepler y Galileo.

El sistema de Ptolomeo
Hasta Copérnico el movimiento de los cuerpos celestes se explicaba mediante el sistema de Ptolomeo. Se suponía que los cuerpos celestes (el Sol, la Luna y los planetas) se encontraban situados en esferas huecas concéntricas a la Tierra. Las estrellas fijas (casi todos los objetos del cielo, se situaban en una sola capa exterior. Se suponía que cada una de estas esferas ajustaba perfectamente en la siguiente, como si fueran las capas de una cebolla. En el centro de todas ellas estaría la Tierra. Todas estas esferas girarían con distintas velocidades alrededor de la Tierra, de forma que desde la Tierra veríamos deslizarse por el Cielo a los distintos objetos celestes. Sin embargo, no todo era tan simple y para poder explicar los distintos movimientos que se fueron observando hubo que ir complicando bastante el modelo.
La teoría heliocéntrica de Copérnico
Copérnico se planteó que, en vez de ser las esferas las que giraban alrededor de la Tierra, podría ocurrir que la Tierra girara alrededor de su eje una vez al día. Idea que no era demasiado original porque se les había ocurrido antes a otros. Sin embargo, la verdadera aportación de Copérnico fue la de proponer que la Tierra no era el centro del mundo, sino que la Tierra y todos los demás planetas se movían describiendo círculos alrededor del Sol. Este nuevo modelo permitía explicar fácilmente el aparente movimiento de avance y retroceso que describen los planetas en el firmamento. De esta manera pudo desecharse la teoría de Ptolomeo con toda su carga de complicación y los reajustes que había sufrido. A partir de ese momento, los navegantes y los astrónomos disponían de un método mucho más sencillo para realizar sus cálculos. Bastaba suponer que la Tierra y los demás planetas giraban alrededor del Sol. 90.jpg (24182 bytes)Grabado con el sistema solar de Copérnico. De revolutionibus orbium coelestium libri vi, 2nd ed. (1566). The Adler Planetarium and Astronomy Museum, Chicago, Illinois
Aunque en nuestros días se acepta la tesis copernicana, ésta ha sido corregida. Las órbitas de los planetas no son circulares, como creía Copérnico, sino elípticas, como mostró Kepler. Asimismo, el Sol, como los demás astros del firmamento, también se mueve.
En El rincón de la ciencia puedes leer también el artículo:
Sobre la revolución copernicana. O de si las teorías científicas describen fielmente los fenómenos o sólo los explican
"Y no espere nadie, en lo que respecta a las hipótesis, algo cierto de la astronomía, pues no puede proporcionarlo; para que no salga de esta disciplina más estúpido de lo que entró, si toma como verdad lo imaginado para otro uso.""Sobre las revoluciones de los orbes celestes", prefacio de A. Osiander.
¿La aspiración de la ciencia al elaborar sus teorías es describir fielmente la realidad o elaborar un modelo que nos permita predecir los fenómenos?
La cuestión no está, ni mucho menos, resuelta por los científicos, y todos, de manera consciente o no, tienen una posición al respecto. Aquellos que optan por intentar desentrañar los secretos de la naturaleza, reciben el nombre de realistas; por el contrario, los que se conforman con que sus teorías "funcionen" razonablemente bien, mientras no existan otras mejores, suelen conocerse como positivistas. Estos últimos sólo pretenden salvar las apariencias, atenerse simplemente al dato positivo, sin entrar en más consideraciones.
Para acercarnos al debate entre estas dos concepciones sobre lo que debe ser la ciencia, repasemos lo acontecido con la publicación de la tesis de Copérnico y la consiguiente controversia que se originó por la reacción de las autoridades religiosas de la época. Cuando se estudia el impresionante avance que supuso la teoría copernicana, con demasiada frecuencia suele simplificarse lo sucedido, reduciendo todo sin más a la difusión de la teoría heliocéntrica y a la rotunda e inflexible oposición de la Iglesia. El "pero se mueve" pronunciado, según la tradición, por Galileo durante el juicio en el que la Inquisición le obligó a retractarse so pena de ser torturado, representaría muy bien esa interpretación de los hechos. Sin embargo, aunque la famosa obra del astrónomo polaco fue incluida en el Índice de obras prohibidas en 1616 y Galileo fue condenado, tal reducción de los hechos tiende a ignorar una apasionante discusión sobre la validez de las teorías científicas. Acerquémonos a los hechos...
Nicolás Copérnico fue un eclesiástico que durante toda su vida fue fiel a la doctrina católica. Un tío suyo era obispo y se ocupó de que su sobrino tuviera una formación adecuada, que comprendió, además de los estudios en astronomía y medicina, la licenciatura en derecho canónico. Desde que comenzó a esbozar la teoría heliocéntrica (1507) hasta que se publicó (1543) pasaron muchos años. Posiblemente, influyó en esta demora el temor a una probable condena, pero no faltaron voces de la Iglesia, como la del Cardenal de Capua, que animaron insistentemente a Copérnico a divulgar sus teorías. Asimismo, resulta sumamente sorprendente el que una obra que con el tiempo fue proscrita por la Iglesia, fuera dedicada por el propio Copérnico "al santísimo señor Pablo III", obispo de Roma en aquel tiempo. ¿Una temeridad, una desfachatez de Copérnico? Ni mucho menos.
La Iglesia no tenía ningún inconveniente en aceptar otros modelos distintos del geocéntrico para salvar las apariencias. De hecho, como un conjunto de meras hipótesis, la teoría heliocéntrica fue utilizada para la reforma del calendario realizada por Gregorio XIII (1582). El problema no estaba pues en la propia teoría, sino en el carácter que se le pretendiera dar. Si se presentaba como un conjunto de cálculos coincidentes con las observaciones, entendidos más como un artificio matemático que como un reflejo de la realidad, la Iglesia no ponía ningún obstáculo, más bien lo contrario, ya que el modelo copernicano presentaba mayores ventajas que el ptolemaico, entre ellas la sencillez de los cálculos. Precisamente, ésta fue la posición que adoptó Andreas Osiander, editor de la revolucionaria obra de Copérnico y autor de la cita recogida al principio de este artículo. Quizá tratando de evitar una condena de la obra, Osiander quiso presentarla como un simple supuesto, más fácil de comprender y explicar que otros, pero que en ningún caso tenía por qué ser cierto. La cuestión de la verdad es dejada por el editor para los filósofos, los cuales a su juicio tampoco podrán descubrirla pues está reservada a la divinidad. Se renuncia expresamente a conocer el verdadero movimiento de los planetas y del Sol. El hombre debe conformarse con poder predecir lo que sucede, sin pretender con ello describir fielmente la realidad.
Ni qué decir tiene que ésta no era la pretensión de Copérnico. Para él, el movimiento de la Tierra alrededor del Sol era un hecho físico, real, y no un artificio matemático. Mucho más lejos llegó Galileo que ni siquiera quiso admitir el carácter hipotético de la teoría: simple y llanamente se trataba de la verdad.
Hoy, muchos científicos y profesores de ciencias tienden a exponer sus conocimientos como meros modelos explicativos, sin más pretensiones. Renuncian expresamente, al menos eso dicen, a saber lo que sucede en realidad. Cuanto más eficaz sea el modelo en sus predicciones, mejor es. No sabemos si realmente los hechos acontecen como son representados, pero el modelo funciona y eso es lo importante, al menos hasta que se encuentre otro mejor. Tal posición genera, como no podría ser de otro modo, una actitud relativista entre los jóvenes estudiantes de ciencias cuando no una actitud decididamente escéptica. Al fin y al cabo, lo que se expone es una explicación posible y como tal puede ser verdadera... o falsa. Con ello, la ciencia parecería estar invadida por la creencia: el modelo funciona, por tanto es innecesario y discrecional el creerlo como ajustado a la realidad -verdadero- o no.
Con todo, es difícil no pensar que los científicos en su fuero interno, y pese a lo que públicamente sostengan, no pretendan realmente desvelar las causas ocultas de los fenómenos, explicar lo que verdaderamente sucede, elaborar no la última teoría, sino "la teoría" que explique de manera definitiva un determinado fenómeno natural. Ésa fue la pretensión de Copérnico y de Galileo. Quizá también por ello, en octubre de 1992 la Iglesia Católica reconoció oficialmente su error.
Página de la Enciclopedia Britanica sobre Copérnico: http://britannica.com/bcom/eb/article/1/0,5716,108021+1,00.html

Nicolaus Copernicus, Polish Mikołaj Kopernik   (born February 19, 1473, Toruń, Poland—died May 24, 1543, Frauenburg, East Prussia [now Frombork, Poland]), Polish astronomer who proposed that the planets have the Sun as the fixed point to which their motions are to be referred; that the Earth is a planet which, besides orbiting the Sun annually, also turns once daily on its own axis; and that very slow, long-term changes in the direction of this axis account for the precession of the equinoxes. This representation of the heavens is usually called the heliocentric, or “Sun-centred,” system—derived from the Greek helios, meaning ... (100 of 3,345 words)